Des hackers s’échangent des astuces pour développer des logiciels malveillants grâce à ChatGPT. Les pirates basés en Russie cherchent à contourner les restrictions autour de l’outil d’OpenAI.
Le potentiel révolutionnaire de ChatGPT se dévoile de jour en jour, mais ce n’est pas une bonne nouvelle pour autant. Le modèle de langage entraîné par OpenAI est également capable de produire du code et les hackers se sont emparés de cet outil pour commencer à développer des malwares. Sur les forums fréquentés par les pirates, des topics ont été ouverts pour partager les résultats de différentes expériences de programmation.
Ainsi, des fonctionnalités de « stealer », pour détecter et dérober des fichiers, ont été développées et détaillés dans un post. « Il s’agit d’un infostealer qui recherche 12 types de fichiers courants, comme des documents Office, des PDF et des images, et ce, sur l’ensemble du système » expliquent les chercheurs de Checkpoint, une société spécialisée en cyber.
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